Jean-François Portarrieu
Député du Nord toulousain
(Haute-Garonne)

/ BIOGRAPHIE /

Très attaché au Nord toulousain, je suis né et j'ai grandi au sein du restaurant des Pins à Aucamville où j'ai conservé une partie de ma famille et de nombreux amis. Âgé de 60 ans, je suis marié et père d’une fille de 21 ans. Je suis passionné de sports, notamment de cyclisme, dont j'ai été champion des Pyrénées Junior, et de rugby que je pratique toujours avec l’équipe du XV Parlementaire.

Issu de la société civile, j'ai débuté ma carrière dans l’enseignement comme professeur de philosophie, puis j'ai passé une douzaine d’années dans le journalisme au sein du Groupe La Dépêche du Midi et j'ai participé ensuite à la direction de plusieurs collectivités territoriales, parmi lesquelles le Grand Narbonne et Toulouse Métropole.

Sans jamais avoir milité dans un parti politique, j'ai candidaté pour la première fois à une élection en juin 2017, date à laquelle j’ai été élu député de la 5ème circonscription de Haute-Garonne.

A nouveau candidat en 2022, j'ai été réélu avec près de 24 000 voix. Je suis membre du groupe parlementaire "Horizons et Indépendants" au sein duquel je siège avec une trentaine de députés proches d'Edouard Philippe et très sensibles aux relations avec les élus locaux.

A la suite des élections municipales de mars 2020 à Toulouse, je suis devenu Président de la commission "Prospective et contractualisation" au sein de Toulouse Métropole où je suis très engagé pour développer et renforcer les coopérations avec les territoires voisins, plus particulièrement les communautés de communes du Nord toulousain.

Suite à la décision de dissolution de l'Assemblée nationale en juin 2024 par le Président de la République, je suis réélu pour un 3ème mandat avec plus de 41 000 voix au second tour après avoir rassemblé contre l'extrême droite. Nous avons fait primer les valeurs républicaines que nous sommes très nombreux à partager malgré nos différences. Un résultat qui m'honore et m'oblige !

C'est pourquoi je vais rester un député de terrain, loin des étiquettes partisanes et à l'écart des salons parisiens. Et je reste convaincu que c'est de ce bon sens, de l'ancrage local et du dialogue que notre territoire a besoin pour construire un avenir plus juste et mieux partagé. C'est à ce titre que je suis fortement engagé dans la défense de la filière aéronautique, si importante pour l'économie toulousaine et du Nord toulousain, et, en tant que président de l'Association nationale des élus de la vigne et du vin (ANEV), dans la défense de la viticulture française dont le Frontonnais est un très bel exemple.

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